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Le mouton à cinq pattes

Dans la bible, Dieu nous compare à des brebis.
C'est l'image qu'Il emploie et se voit Lui comme notre berger.

Avez-vous eu l'occasion une fois dans votre vie d'entrer dans une bergerie le soir au début de l'hiver, quand le troupeau revient de sa pâture dans les près, que la bergerie est propre, les mères sont gestantes. Il y a une douce odeur de foin frais, une chaleur qui nous enveloppe.
Un calme, une sorte de torpeur bercé par quelques bêlements de brebis repues.

M'accorderez vous la comparaison avec l’Église ?
C'est ainsi que le Seigneur voudrait nous rassembler autour de lui. Non pas autour d'une religion d'homme, mais de Lui.

Parler du Seigneur pour celui qui le côtoie au quotidien en priant et en lisant la bible, devient facile parce qu'il le connaît, et le Seigneur le connaît.

Je voudrais vous avertir, vous inviter à ne pas passer à côté de l'invitation du Seigneur pour rentrer à l'abri.
Je suis un mouton à cinq pattes. Si un jour vous me croisez, vous comprendrez pourquoi.
Je suis restée trop longtemps à vivre sans prendre au sérieux la nécessité de me tenir proche du berger Jésus.
Alors je vais vous étonner mais il y a une pratique qui peut paraître barbare et cruelle, au temps où les loups étaient nombreux, la brebis qui avait tendance à s'éloigner risquait d'entraîner les autres vers le danger loin du berger, c'est pourquoi le berger se voyait contraint de casser une patte à la brebis (je sais c'est cruel) mais ainsi la brebis était obligée de se tenir près du berger, car sa vie en dépendait.

J'avais fais une promesse au Seigneur dans ma jeunesse, je lui ai dis : ma vie ne vaut la peine que je la vive, uniquement si elle te sert. Le Seigneur a vu mon cœur.
Et puis, j'ai oublié ma promesse...
J'ai vécu comme bon me semblait, avec mes valeurs, sans me soucier d'obéir, continuant à faire le contraire de ce que demande le Seigneur.
Combien de fois le Seigneur m'a rappelée...n'y va pas !

Les cinq pattes sont probablement là dans ma chaire pour que je me souvienne que nous n'avons pas un Dieu pour rire, que l'éternité existe mais que le lieu où la vivre dépendra du sérieux de nos choix.

La crainte de Dieu doit raisonner dans tous les cœurs.
La plupart d'entre vous qui lisez pouvez encore courir pour votre salut au pied de Jésus.
J'ai osé par amour pour mon Sauveur et pour vous tous, de vous parler.
Pour ce qui est de moi, je suis enfin retournée à l'abri, par la prière à Jésus, au Saint Esprit et par la lecture de la bible.

Clarence

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